Aujourd’hui est un jour où je pourrais être très énervé.
Je viens de voir sur LinkedIn dimanche quelqu’un qui a copié mot pour mot un post que j’ai écrit il y a quelques semaines. Sans me demander mon accord (bien entendu).
Il s’approprie mon idée.
Il s’approprie mon format.
Il s’approprie mes clients.
Il devient moi alors que j’ai passé du temps et de l’énergie depuis 3 ans à construire tout ça chaque semaine à la sueur de mon front.
Mais vous savez ce que ça me fait ?
Rien. Parce que je n’ai plus peur de la concurrence.
Allez-y, faites vous plaisir.
J’ai décidé de sortir mon doigt d’honneur et de continuer mon chemin.
Parce que j’ai compris une chose importante après 3 ans d’activité :
Les gens qui essaient de me plagier sans réfléchir ont déjà perdu.
Ils pourront certes voler mes contenus et ce que j’ai déjà mis dans la matière, mais j’aurais toujours un coup d’avance sur eux.
Car tu sais ce qu’ils ne pourront JAMAIS me copier ?
Mes futures idées.
Ma personnalité.
Mon histoire personnelle.
Et c’est pareil pour vous !
Vous n’avez pas à avoir peur de la concurrence si vous passez du temps chaque jour à construire ces actifs qui font de vous quelqu’un d’unique.
Si un concurrent veut vous plagier, vous ne pourrez jamais l’en empêcher.
C’est triste.
Impossible de mettre un fil barbelé qui l’empêchera de dupliquer votre travail.
Mais il y a des choses qu’ils ne pourront PAS pomper !
Votre créativité.
Vos expériences de vie.
Vos compétences.
Parce qu’on ne copie pas une personnalité.
Et encore moins une façon d’être, d’écrire et de fédérer.
Votre personal branding et votre storytelling sont votre façon unique d’exister et aucun concurrent, ni aucune intelligence artificielle ne pourront jamais vous l’enlever.
Alors n’ayez plus peur du plagiat et de la concurrence.
Faites votre chemin et appliquez-vous dans votre coin à peaufiner vos compétences et votre façon unique d’appréhender le bon.
Et à la tous les concurrents qui s’inspirent un peu trop de notre travail…
Allez vous faire foutre.
Nous, on sort les doigts d’honneur, et on continue notre chemin.